Deux stratégies pour concevoir des revêtements avec une résistance exceptionnelle à l'usure

cintre décapant dans un revêtement en poudre

Deux stratégies sont disponibles pour concevoir des revêtements avec une résistance exceptionnelle à l'abrasion.

  1. Ils peuvent être rendus suffisamment durs pour que l'objet marquant ne pénètre pas profondément dans la surface ; ou
  2.  Ils peuvent être rendus suffisamment élastiques pour récupérer une fois la contrainte de marquage supprimée.

Si la stratégie de dureté est choisie, le revêtement doit avoir une dureté minimale. Cependant, de tels revêtements peuvent échouer par rupture. La flexibilité du film est un facteur important influençant la résistance à la rupture. L'utilisation d'acrylate de 4-hydroxybutyle au lieu d'acrylate de 2-hydroxyéthyle dans une résine acrylique réticulée avec une résine MF a donné des résultats améliorés, tout comme l'utilisation d'un isocyanurate de diisocyanate d'hexaméthylène modifié par un polyol au lieu d'isocyanurate de diisocyanate d'isophorone dans la réticulation du revêtement de polyuréthane. Courter propose qu'une résistance maximale à l'usure soit obtenue avec des revêtements ayant une limite d'élasticité aussi élevée que possible sans être cassants. De cette manière, une limite d'élasticité élevée minimise l'écoulement plastique, et le fait d'éviter la fragilité minimise ainsi la rupture.

Un autre problème lié à la résistance à l'abrasion est le marquage des métaux. Lorsqu'un bord métallique est frotté sur un revêtement, une ligne noire est parfois laissée sur le revêtement là où le métal a frotté sur la surface du revêtement. Le marquage des métaux se produit généralement avec des revêtements relativement durs. Le problème peut être réduit ou éliminé en réduisant la tension superficielle du revêtement, de sorte que le coefficient de frottement est faible et que le métal glisse sur la surface.

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